Monde

Benjamin Gohaud, un amateur éclairé chez les pros à Pontivy

Equipondi. Benjamin Gohaud a réussi à tirer son épingle du jeu chez les pros et a trusté les podiums chez les amateurs. Le Morbihannais revient en deuxième semaine pour performer.

Benjamin Gohaud était vraiment satisfait de son premier week-end équipondien. Le cavalier morbihannais a su rivaliser avec les pros dans ce concours en salle si particulier, un des seuls en Bretagne avec Morlaix et Landivisiau.

Et après douze victoires cette saison au niveau amateur Élite et Pro 2, l’ostéopathe de profession veut monter la barre ce prochain week-end sur le sol pontivyen grâce à deux chevaux, Dido de l’Herbage (hongre, 9 ans), « qui m’appartient et que je monte depuis un moment, il est d’ailleurs vice champion de France amateur Élite », précise le cavalier formé au centre équestre de Kermen à Lanester. « Ce week-end, on va monter d’un cran au dessus à Pontivy, sur des hauteurs à 1,30 m et 1,35 m. Je dispose également de Versace d’In Chala (hongre, 13 ans), un cheval issu de l’élevage de Christophe Le Garrec qu’il me confie. »
« Mes chevaux sont en forme »

Les chevaux de Benjamin Gohaud étaient dans le ton ce week-end. « Ils ont bien aimé la salle », Versace a gagné deux épreuves à 1,05 et 1,15 malgré une grosse adversité en face, une fois deuxième à 1,10 m et Dido complétait le palmarès grâce une place sur le podium (3e) dimanche dans le Grand Prix Pro 2 à 1,30 m. « Mes chevaux sont en forme en cette fin de saison. C’est d’ailleurs une de mes meilleures saisons. J’ai gagné douze épreuves chez les amateurs et pros, dans le grand ouest : en Vendée, en Normandie, dans les Pays de la Loire. À 36 ans, l’expérience, ça joue énormément, et les chevaux arrivent dans des âges où ils sont matures, donc les deux en même temps font qu’on peut performer sur un sol pour lequel les organisateurs se donnent du mal pour qu’il soit bon et ça se voit. »

« C’est bien de varier, de voir autre chose »

Installé à Languidic et à Larmor-Plage, l’ostéo qui veut se frotter aux meilleurs cavaliers nationaux, dont fait partie Christophe Le Garrec, n’hésite pas à prendre une piqûre de rappel aux écuries du Roch à Languidic : « J’ai débuté l’équitation à cinq ans. C’est enrichissant de monter aux côtés des cavaliers professionnels, de voir comment ils se préparent, comment ils s’échauffent avant d’entrer en piste. Je m’entraîne souvent tout seul et je vais aux Écuries du Roch à Languidic, régulièrement, ça permet de faire un point. C’est bien d’avoir un œil extérieur, celui de Christophe Le Garrec pour recadrer un peu quand il le faut. »

« C’est bien de varier, de voir autre chose »

Installé à Languidic et à Larmor-Plage, l’ostéo qui veut se frotter aux meilleurs cavaliers nationaux, dont fait partie Christophe Le Garrec, n’hésite pas à prendre une piqûre de rappel aux écuries du Roch à Languidic : « J’ai débuté l’équitation à cinq ans. C’est enrichissant de monter aux côtés des cavaliers professionnels, de voir comment ils se préparent, comment ils s’échauffent avant d’entrer en piste. Je m’entraîne souvent tout seul et je vais aux Écuries du Roch à Languidic, régulièrement, ça permet de faire un point. C’est bien d’avoir un œil extérieur, celui de Christophe Le Garrec pour recadrer un peu quand il le faut. »